materialising the internet

01.01.2019 — 01.01.2020

Ce projet base son contenu sur l’ensemble de mes données collectées par Facebook pour la période du 1er janvier 2019 au 1er janvier 2020. Le site web décrit visuellement le processus de récupération des datas et une édition contient l’entièreté de celles-ci. Chacun des supports se complètent mutuellement.

L’impression représente physiquement la quantité des données stockées, parfois à mon insu, parfois par manque de renseignement de ma part. Cette représentation réelle d’éléments non concrets permet une matérialisation de l’intangible. Cette forme physique d’archivage a pour but de susciter une prise de conscience de la quantité d’informations détenue par les réseaux sociaux.

Dans un contexte de mise en valeur de la protection des données, ce passage du numérique à l’analogique, sans « traduction », ni hiérarchie du langage concerné, souligne l’aspect abstrait de celles-ci ainsi que notre méconnaissance des conséquences.

Références diverses
wwwwww.jodi.org
{Inversion du visuel et du code}
Accepte de Alexandrin Thiélin
{Projet sur les conditions d’utilisation et des règles de confidentialité des GAFA}
.Archives de Elise de Maio
{Archivage des données d’un MacBook sous forme d'une édition (1 fichier = 1 page, 1 couleur = 1 extension)}